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Cet herbier fut originellement rédigé en nahuatl, langue véhiculaire des Aztèques toujours parlée aujourd’hui, et traduit en latin par Juan Badiano en 1552. Trésor de la civilisation aztèque, cet herbier est un héritage direct témoignant de leur art de vivre et de leurs connaissances, notamment en matière de botanique et de médecine – même si la plupart des plantes n’ont pu être identifiées. Les illustrations de l’article proviennent des collections du Musée national d’anthropologie de Mexico. Celle qui figure ici représente, à droite, Mirabilis jalapa (une belle-de-nuit, à droite). À Vence, avec mon père, nous en avons semé beaucoup…